Ce Jeudi 14 Octobre 2020, Une délégation du Bureau International du Travail BIT a rendu une visite de contact avec des membres du Comité Exécutif de l’UGTCI à la salle 5 de la Bourse du Travail, siège social de l’UGTCI.

Cette délégation composée du Nouveau Directeur pays du BIT, Monsieur Fredérick LAPEYRE et de la Spécialiste Principale pour les activités des Travailleurs au BIT Abidjan, PAREDES Moreno KATTIA.

Pour l’UGTCI, il y avait le Camarade Secrétaire Général ADOUWETCHI Assemian, 1er Secrétaire Général Adjoint représentant le camarade secrétaire général EBAGNERIN Joseph et quelques membres du comité exécutif de l’UGTCI dont les départements collaborent le plus souvent avec le BIT.

Ouvrant les échanges par la série de présentation, le camarade ADOUWETCHI s’est dit satisfait de la visite du BIT dans les locaux de la centrale tout en les remerciant au nom du secrétaire général pour toutes les actions et interventions qu’a mené le BIT dans l’amélioration des conditions de vie et de travail de ses mandants.
Aussi, il a sollicité auprès du Nouveau Directeur, quelques doléances relatives à la formation des secrétaires nationaux et des mandants appelés à parfaire leur connaissance en vidéoconférence vue que la pandémie nous obligeant d’être en télétravail. A-t’il par la suite sollicité un appui en matériel informatique afin de permettre une utilisation parfaite des utilisateurs, le rapprochement du BIT avec les comités féminins en vue de mener des actions, la collaboration avec le département de la migration qui aujourd’hui constitue phénomène mondial et pour lequel le combat pour sa neutralisation en encorageant les pays à ratifier les conventions 97, 143, 189 sur la migration.  

Répondant à la demande de l’UGTCI, le Nouveau Directeur pays a promis tout mettre en œuvre afin que les attentes obtiennent satisfaction. Il a parailleurs expliqué les actions du BIT et les perspectives dont la ratification de la Convention 190 et la recommandation 206 sur la violence et le harcèlement en milieu de travail. Il a demandé aux centrales d’être au moment de sa ratification afin qu’elle soit légiférée aussi bien dans le code du travail que dans le code pénal pour la protection de tous les travailleurs.